"Cent Un Quatrains de libre pensée" (Robâïât) d'Omar Khayyâm
« 1 La caravane pressée de nos jours, comme elle passe ! Ne laisse pas s’effacer l’instant de plaisir qui passe. Du lendemain des convives que te soucies-tu, ma belle ? Vite incline la bouteille et buvons, car la nuit passe. 2 De ce vert gazon, mon cœur,...